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 La Brigade d’accueil jeunesse, une initiative inspirante!
 La Brigade d’accueil jeunesse est un groupe d’élèves de 1re à 4e secondaire qui viennent de différents pays comme le Congo, le Mali, l’Angola, Cuba, le Mexique ainsi que le Liban. Ce groupe a été créé pour accueillir les nouveaux élèves, les aider à s’intégrer à l’école et faire connaître les différentes cultures à tous les élèves de Montignac. Pour ce faire, nous organisons des activités de sensibilisation comme l’activité du tam-tam, la dégustation de bananes plantain et les
midis-conférences « À chacun sa story », présentés par les élèves. Nous espérons vous voir participer en grand nombre aux autres activités prévues d’ici la fin de l’année
scolaire.
À venir, nous avons un midi de danse latine, une dégustation et une séance de tatouage au henné, en plus de deux
autres midis-conférences.
N’hésitez pas à venir nous voir si vous avez des suggestions, on porte nos chandails chaque jours 4 et 8. Vous pouvez aussi en parler à Patrick St-Jacques, responsable de la Brigade d’accueil jeunesse à la polyvalente!
Viens nous voir! Tu verras, ça manque à ta culture!
Seinab Soueidan, 4e secondaire
      Faire de l’improvisation, une passion qui fait grandir
 Par Alan Quirion et Thomas Gagnon,
étudiants en 1re secondaire
Dans le cadre de la 10e édition du magazine ZigZag, nous avons procédé à plusieurs entrevues avec des groupes d’activités parascolaires, dont la Ligue d’improvisation Montignac (LIM). Ainsi, deux de ses improvisatrices, Adèle Létourneau-Vachon et Léa Isabel, se sont confiées à nous. Voici ce qu’elles avaient à nous dire.
En premier lieu, quel est votre intérêt à improviser? Est-ce une passion, un rêve ou un passe-temps?
Pour nous, c’est une passion! Depuis la 5e année du primaire, avec la ligue d’improvisation de l’école Sacré-Cœur, nous avons développé cette passion. Depuis trois ans, nous sommes choyées avec la LIM.
Depuis quelques années, nous entendons parler d’anxiété chez nos personnalités publiques. Et vous, comment vous sentez-vous lorsque vous êtes dans une improvisation, la perception du public a-t-elle un impact sur vous?
Avec l’éclairage, nous ne voyons pas la figure des spectateurs, donc on s’imagine qu’ils sont heureux de notre performance. Également, nous ne sommes qu’un personnage, donc les gens rient du personnage et non de nous. Puis, bien entendu, l’esprit d’équipe nous donne une incroyable force et de la confiance en soi. Disons que c’est beaucoup plus facile de faire des exposés oraux maintenant!
Comment vivez-vous avec le contexte pandé- mique? Auriez-vous aimé pouvoir improviser sans mesures sanitaires, qui, disons-le, rendent le tout plus complexe?
Évidemment, car avec la figure, nous pouvons donner une allure autre à notre personnage, puis
avec le masque tout est gâché. Également, la tonalité n’est pas la même, parce que le masque coupe la voix. Puis, la limite du nombre de spectateurs dans la salle nous décourage, car improviser pour cent personnes plutôt que deux cents devient irritant.
Comment décririez-vous votre horaire de rencontres?
Étant donné la situation COVID, nous n’avons eu que quelques rencontres depuis le début de l’année scolaire, la vraie saison devrait débuter en janvier. Nous avons fait quelques matchs amicaux devant un public d’élèves sur l’heure du midi.
Finalement, qu’aimeriez-vous dire aux lecteurs et aux lectrices?
Il ne faut pas avoir peur d’essayer de nouvelles choses, on se découvre parfois des passions!
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  ZIGZAG La voix des jeunes de la MRC du Granit SECONDAIRE • Entrevues
e édition








































































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